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Une montre connectée qui sauve une vie, Tristan Nitot devient le DG de Qwant, Les robots collaborati

Une montre connectée qui sauve une vie, Tristan Nitot devient le DG de Qwant, Les robots collaboratifs envahissent les entreprises ; c'est le 4ème ZD Brief saison 2

Voici le quatrième épisode (saison 2) du ZD Brief, le podcast dédié aux nouvelles technologies. Sommaire :

  1. Une montre connectée qui sauve une vie

  2. Tristan Nitot devient le DG de Qwant

  3. Les robots collaboratifs envahissent les entreprises

  4. Le chiffre du jour : 99% des problèmes de configuration liés au cloud computing ne sont jamais signalées

  5. Pratique : Quelles préconisations pour utiliser la messagerie instantanée en entreprise ?

Une montre connectée qui sauve une vie

L’Apple Watch d’un cycliste lui a sauvé la vie. Cet américain circulait dans un parc de l’Etat de Washington a fait une chute et s’est cogné la tête. Il est tombé dans les pommes.

L’Apple Watch a immédiatement détecté une chute brutale de son rythme cardiaque. Elle a de suite envoyé automatiquement un message d’alerte à son fils, avec la localisation de la victime. La montre a aussi pris contact de son propre chef avec les secours qui sont arrivés sur les lieux en moins d’une demi heure.

Tristan Nitot devient le DG de Qwant

La société Qwant vient de nommer Tristan Nitot a sa direction générale. Tristan Nitot vous le connaissez c’est l’ancien président de Mozilla Europe, une personnalité respectée dans la communauté des logiciels libres et un farouche défenseur des libertés publiques en ligne.

Avec cette nomination, le moteur de recherche français veut redorer son blason. Faut dire que depuis des semaines il n’a pas bonne presse. Celui qu’Emmanuel Macron appelait “le google français en marche” a du plomb dans l’aile. La société a été mise en cause pour les hauts salaires versés à ses dirigeants au regard de maigres performances, ou encore des relations pas si claire que ça entre Microsoft et Qwant.

Tristan Nitot, arrivé dans l’entreprise en juin 2018, doit donc à présent redresser la barre.

Les robots collaboratifs envahissent les entreprises

Les cobots, ou robot collaboratifs, multiplient leurs compétences et les domaines et les secteurs dans lesquels ils interviennent sont de plus en plus nombreux. La Fédération internationale de robotique relève une croissance de 23 % des installations annuelles de robots collaboratifs de 2017 à 2018. En 2018, près de 14 000 nouveaux cobot ont été installés, et ce nombre pourrait même doubler en trois ans.

Ces chiffres sont particulièrement révélateurs car certaines des industries qui utilisent des robots depuis longtemps ont connu ces deux dernières années des difficultés économiques. Ce qui indique que l’automatisation s’est étendue à de nouveaux secteurs.

On apprend aussi que la Chine continue de régner en maître sur le marché mondial des robots industriels. Elle détient a elle seule 36 % du nombre total d’unités installées, soit plus que le nombre de robots présents en Europe et dans les Amériques réunies.

Le chiffre de la semaine : 99 %

99% des problèmes de configuration liés au cloud computing ne sont jamais signalées. Le cloud computing, c’est la possibilité pour une entreprise d’utiliser des ressources informatiques à distance, pour stocker des données ou les exploiter.

Donc ça veut dire que quand ces entreprises utilisent des services de cloud, 99% des problèmes de configuration ne sont pas signalés. Conséquence : de nombreuses données ne sont pas vraiment sécurisées.

C’est la société McAfee qui a découvert le pot au rose. Elle indique que ces incidents exposent les entreprises du monde entier à la perte et au vol de données. Et le hic c’est que selon le cabinet de recherche Gartner (prononcer à l’anglaise), le marché mondial des services de cloud public devrait croître de plus de 17 % cette année. Le secteur du cloud explose donc et avec lui ses failles.

Pratique : Quelles préconisations pour utiliser la messagerie instantanée en entreprise ?

Parce qu’on a pas toujours envie que les messages adressés à certains soient lus par d’autres. Tout d’abord, adoptez le bon ton, et les smileys n’ont pas encore été admis comme signe de ponctuation par l’Académie française. Si vous y tenez vraiment limitez vous aux emojis les plus classiques et surtout les moins équivoques.

Faites des messages de quelques mots à une phrase… il ne s’agit pas d’écrire un mail mais un message. Un étude menée par Messenger révèle que pour 68% des répondants un message ne doit pas excéder quelques mots, et pour 65% une phrase. Evitez aussi les avalanche de messages. Réfléchissez avant d’écrire, faite clair et concis.

Méfiez vous des conversations de groupe…regardez bien qui intervient et surtout qui peut lire ce que vous dites. Si vous avez des informations qui ne concernent pas tout le groupe, mieux vaut privilégier une conversation en tête à tête ou créer un nouveau groupe.

Attention aussi aux réponses. Déjà répondez aux messages et surtout questions qui vous sont posées. Il n’y a rien de plus frustrant que de devoir attendre. Si vraiment vous n’avez pas le temps évitez les “vu” ça peut vexer… choisissez alors de ne pas ouvrir le message ! Ou alors si vraiment vous ne voulez plus participer à la conversation… dites le simplement à vos interlocuteurs avec du tact et une bonne excuse. Plus de conseils ici.

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