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Uber et la NASA travaillent ensemble sur la « voiture volante »

Cette semaine, le géant de la mobilité nouvellement côté en bourse – Uber – va à nouveau approcher les équipes de la NASA, à l’occasion d’un travail commun sur le programme « Urban Air Mobility » (UAM) de l’agence américaine. Une occasion pour les deux, de pouvoir s’échanger leurs informations sur leurs avancées dans le transport urbain d’hommes et de marchandises par les aires.

Leur partenariat ne date pas d’aujourd’hui par ailleurs. La NASA travaille en réalité avec Uber depuis 2017, et ne devrait d’ailleurs pas se fier qu’au leader du VTC pour dresser les premières lignes de l’arrivée de la « voiture volante », comprenez ces petits aéronefs qui permettront de réaliser des livraisons et des courses en « taxis volants ».

Une semaine de travail en commun pour la NASA et Uber

Le programme de cette semaine met tout de même sur le devant de la scène Uber, qui va travailler avec les équipes spécialisées dans les « ADAV » (« aéronefs à décollage et atterrissage verticaux ») de la NASA. Ensemble, ils vont mettre en place plusieurs simulations informatiques sur les futurs déplacements aériens en milieu urbain.


uber air

© Uber


Les tests menés serviront notamment à dresser un premier constat sur les avancées de chacune des deux équipes. Selon la NASA dans un communiqué de presse, ces simulations informatiques permettront d’obtenir des données sur « certaines choses que nous savons déjà et d’autres qu’il nous reste à inventer ».

Le partenariat entre Uber et la NASA place d’ailleurs l’entreprise aux 50 milliards de dollars de valorisation parmi les principaux acteurs en lice pour débarquer sur le marché. Grâce à l’agence américaine, Uber développe les logiciels qui permettront de faire fonctionner les drones de livraison, et les véhicules volants qui pourront « transporter des petits groupes d’individus à basse altitude et sur une courte distance ». A titre de rappel, Uber et son service « Uber Air », devrait programmer ses premiers vols de démonstration en 2020, soit l’année prochaine.

De son côté, le programme « Urbain Air Mobility » de la NASA permettra surtout de pouvoir créer un système informatique permettant de gérer ce trafic aérien, et éviter les collisions et tout autre problème entre les appareils.

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