top of page

Les 4 habitudes des ingénieurs DevOps efficaces

Les 4 habitudes des ingénieurs DevOps efficaces

Pour ceux qui sont intéressés à étendre ou à développer leurs compétences en matière de DevOps, un esprit ouvert peut être votre meilleur outil. Les ingénieurs DevOps qui réussissent sont toujours en train d’apprendre, car ils s’efforcent de comprendre à la fois le codage et les problématiques de livraison, tout en gardant le problème commercial au premier plan. Et, surtout, ils essaient d’éviter la sur ingénierie de leurs solutions ou processus.

Marcel Dempers, spécialiste en génie logiciel, dans une vidéo récente, exhorte les personnes intéressées à poursuivre une carrière dans le domaine du DevOps à élargir leurs horizons. Il donne trois conseils, que je porte à quatre points sur lesquels chaque candidat au DevOps doivent travailler :

Les ingénieurs DevOps efficaces ont quatre habitudes qu’il faut étudier :

publicité

1. Ils s’efforcent d’apprendre comment fonctionnent les autres

Les développeurs doivent comprendre l’infrastructure, et les responsables opérationnels doivent apprendre le codage. “Si vous avez du mal à écrire du code, concentrez-vous sur cela et apprenez à coder” explique M. Dempers.

“Si vous luttez pour apprendre la dimension infrastructure le matériel, concentrez-vous sur ça. Apprenez l’infrastructure et les réseaux, l’équilibrage de charge, les proxies. Une partie du travail d’un ingénieur DevOps consiste à avoir la capacité d’écrire du code, de construire ses propres outils afin de pouvoir créer ses propres interfaces de ligne de commande qui aideront, par exemple, à combler les écarts entre les processus de développement et les processus opérationnels, et ce, qu’il s’agisse de surveillance, de performance ou autre”.

2. Ils cherchent à comprendre les fondamentaux sous-jacents

Avoir une compréhension des fondements de la technologie vous fera faire beaucoup de chemin dans le domaine du DevOps, dit M. Dempers. Les déploiements en entreprise s’accélèrent et il n’y a pas assez de temps pour s’attaquer aux problèmes de chaque nouvelle technologie, dit-il. “Apprenez les bases sous-jacentes d’une technologie, plutôt que la façon d’utiliser la technologie, et comment appliquer la technologie.”

Par exemple, “au lieu d’apprendre comment faire fonctionner un conteneur Docker, plongez dans les fonctionnalités de Linux qui font fonctionner la conteneurisation, et apprenez ces fonctionnalités. Cela facilite vraiment la compréhension de comment Docker fonctionne. Ensuite vous pouvez passer à des technologies comme Kubernetes qui utilisent les mêmes fonctionnalités du noyau Linux”.

Avec une compréhension de la technologie sous-jacente, il sera plus facile de communiquer à travers l’organisation et de comprendre comment les technologies interagissent, ajoute M. Dempers. “En gros, vous apprenez à assembler toutes les pièces du puzzle et à vous faire une image des technologies dans votre tête. Ensuite, vous pouvez vous concentrer sur les choses qui vous manquent, plutôt que de vous concentrer uniquement sur la façon d’utiliser une technologie”.

3. Ils travaillent pour éviter les préjugés

Il est important d’éviter les préjugés dans tous les aspects de la vie, et cela s’applique également à la gestion de la mise en œuvre des technologies en entreprise. “Il n’y a pas de mal à avoir des préjugés sur certaines technologies, mais quand on a une vision étroite, il faut se concentrer sur une certaine pile technologique” dit M. Dempers.

“Cela ne vous aidera pas, ni vous ni votre équipe. C’est vrai, j’ai mes propres opinions biaisées sur les technologies. Mais connaître et réaliser les forces et les faiblesses de ces technologies est un gain important et peut vraiment aider à renforcer votre carrière”.

4. Ils veulent que ça reste simple

“Nous vivons dans un monde où les développeurs et les opérations sont constamment en sur ingénierie, et les technologies et les fournisseurs de services dans le cloud nous permettent de dépenser facilement beaucoup trop” dit M. Dempers.

Avant de s’embrouiller avec des solutions compliquées pour faire face à des problèmes qui peuvent être simples, “il est utile de prendre du recul en regardant le problème avec un grand angle – et aussi de se demander, ‘est-ce vraiment le problème que je veux résoudre?'” suggère Dempers. “Parfois, ces problèmes sont auto-infligés, et en parlant aux bonnes personnes dans votre organisation, vous vous rendez compte que ce n’est peut-être même pas le problème que vous deviez résoudre au départ” Source : “ZDNet.com”

0 vue0 commentaire

Comments


bottom of page