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Crise chez les youtubeurs, Orange lance Djingo, Disney+ débarque ; c’est le 11ème ZD Brief sai


Crise chez les youtubeurs, Orange lance Djingo, Disney+ débarque ; c'est le 11ème ZD Brief saison 2

Sommaire :

  1. On tremble chez les youtubeurs

  2. Orange lance son assistant Djingo

  3. Nouvelle plateforme de SVOD de Disney, baptisée Disney+

  4. Le chiffre de la semaine : 60 nouveaux satellites Starlink mis en orbite

  5. Pratique : notre sélection de logiciels de prise à distance


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On tremble chez les youtubeurs

La plateforme YouTube est en train de modifier ses conditions générales d’utilisation. Et un passage des nouvelles conditions d’utilisation suscite l’inquiétude des utilisateurs. « YouTube peut clôturer votre accès ou l’accès de votre compte Google à tout ou partie du Service si nous avons des motifs raisonnables de croire que la mise à disposition du Service n’est plus commercialement viable. » mentionne Google. En clair, la plateforme peut fermer votre chaine si elle ne lui rapporte pas assez d’argent. Ce qui concernerait… la majorité des chaines.

Ces nouvelles conditions générales doivent entrer en vigueur le 10 décembre prochain sur le territoire américain. Sur la toile, on cri bien évidemment à la censure. Mais Youtube se défend et précise qu’une disposition similaire existait déjà dans les précédentes versions de ses conditions générales d’utilisation. Elle aurait été remaniée pour plus de clarté.

Orange lance son assistant Djingo

Voici donc l’enceinte connectée d’Orange, dans le sillage d’Amazon avec Amazon Echo, de Google avec Google Home ou encore de Apple avec Home Pod.

Elle doit permettre de gérer les services Orange, comme la télévision ou la maison connectée, à l’aide d’un haut parleur. Avec comme avantage de pouvoir interagir avec un smartphone, une télécommande ou encore la box. Là ou ça fait mal, c’est que Orange avait promis que Djingo couterait 50 euros. Au final, la petite machine connectée est commercialisée au tarif de … 150 euros.

Orange se félicite se veut toutefois confiant. La aussi une affaire à suivre tant le marché des enceintes connectés est déjà développé ! Et concurrentiel.

Nouvelle plateforme de SVOD de Disney, baptisée Disney+

Avec un catalogue d’environ 500 films et 7 500 épisodes de licences détenues par le géant du divertissement ainsi que de nouvelles émissions s’adressant à toutes les catégories d’âge, le mastodonte américain a toutes les chances de recueillir un maximum d’abonnés.

Le succès est tel que la plateforme qui vient d’être lancée aux Etats unis, au Canada et aux Pays Bas, a connu de sérieux problèmes techniques. Un succès qui s’explique par l’étendue des programmes proposés mais aussi par le prix de l’abonnement : 7 dollars par mois soit moins que le prix affiché par son principal concurrent Netflix.

La direction de Disney a d’ailleurs indiqué vouloir compter 60 à 90 millions de clients d’ici environ cinq ans, de quoi faire de l’ombre à Netflix, qui compte actuellement autour de 150 millions de clients dans le monde. Et l’arrivée de Disney+ en France, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie ainsi qu’en Espagne, est prévue pour le printemps.

Le chiffre de la semaine : 60 nouveaux satellites Starlink mis en orbite

La société américaine SpaceX ambitionne de commercialiser un service internet par satellite. La date de lancement effectif de ses services est prévue pour mi-2020 aux Etats-Unis et au Canada.

Pour mettre tous ses satellites en orbite, la société d’Elon Musk va devoir lancer en tout 6 fusées depuis la base aérienne de Cape Canaveral, en Floride. Cette semaine c’était le second lancement.

En mai dernier, SpaceX a lancé ses 60 premiers satellites Starlink, soit une petite fraction des 12 000 satellites que la Commission fédérale des communications des Etats-Unis a autorisé la société à exploiter dans l’espace. A terme, la constellation de la société d’Elon Musk pourrait un jour compter jusqu’à 30 000 satellites Starlink en exploitation.

Pour le moment, Starlink a pour objectif d’offrir ses services dans certaines parties des États-Unis et du Canada après ces six lancements donc. Et bien sur d’étendre rapidement sa couverture à l’ensemble du monde après 24 lancements.

Pratique : notre sélection de logiciels de prise à distance

Voici les meilleures applications gratuites de prise de contrôle à distance que nous avons sélectionné.

TeamViewer c’est la référence quand on parle de prise en main à distance. Conçu au départ pour la télémaintenance, ce logiciel peut également servir pour le bureau à distance, l’internet des objets, la conférence en ligne ou encore le transfert de fichier. Et grâce à sa fonction, QuickSupport, il est utilisable à partir de n’importe quel navigateur Web. TeamViewer est gratuit pour les particuliers et travailleurs indépendants mais pas pour les entreprises.

Pour le pro, il existe aussi RealVNC. Il s’appuie sur le protocole VNC pour proposer VNC Connect un logiciel d’accès à distance classique, mais également des API pour intégrer le contrôle à distance dans des appareils divers comme les box opérateurs, les TV connectées. Avec VNC Viewer Pro on peut même prendre la main sur des PC éteints dotés de processeurs Intel Core vPro. Magique

AnyDesk est lui basique mais efficace ! Il facilite le support à distance des utilisateurs ou des applications. Attention il est utilisé par certains criminels qui y ajoutent des ransomware donc ne le télécharger que sur des sites de la société. enfin Ultra VNC est une solution libre pour Windows uniquement. Il reprend les mêmes fonctionnalités que son modèle Real VNC, et qui est compatible avec lui. Il y ajoute des fonctions de transfert de fichiers et de chat en prime.

Si vous n’avez que des besoins ponctuels pour du contrôle à distance, l’extension du navigateur Chrome, Chrome Remote Desktop, peut faire l’affaire. Il suffit que les deux postes utilisent tous deux Chrome avec cette extension pour que l’un prenne la main sur l’autre, après échange d’un identifiant à 12 chiffres.

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